Leur réaction vis-à-vis des résultats de la votation de dimanche est simplement de jalousie et de frustration, de voire qu'une majorité de Suisses ne se sent pas encore, ou plus, obligée de penser comme on le leur dit, un peu comme les musulmans qui agressent ceux qui sortent un sandwich à 10 heures pendant le ramadan, leur rappelant ce qu'ils s'interdisent.
Ces gens ont peur de la liberté qu'on peut avoir à mener sa vie et sa politique selon ses propres convictions et désirs. Ils préfèrent le confort du conformisme. Ils pestent contre leur vie réglée pour correspondre à un système responsable de leur avenir, auquel ils sont soumis, de peur d'avoir à confier leur subsistance à leur foi.
Car en y réfléchissant bien, c'est bien de foi et de soumission qu'il s'agit. C'est une opposition entre ceux qui se sont soumis en espérant assurer leur avenir, et ceux qui ont choisi de voter selon leur jugement, sans que personne ne les assure sur les conséquences que cela puisse avoir, mais en ayant foi en leur capacité à les assumer, ce qui revient à avoir foi en Dieu.
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