mardi 23 juillet 2013

Libertaryen

Titre facile, mais il y a beaucoup d'anti-libéraux parmi les vieux siegs racialoconscients. Mais c'est à mon avis un manque de confiance en leur race.
Parce que dans l'absolu, même si on peut imaginer un état totalitaire, imposant la morale l'ordre et la justice, un état en pratique, c'est une entité dont les gens acceptent la violence. Violence qui sert à contraindre les gens dans des échanges avantageant ce que le pouvoir sert, que ça soit une idéologies ou des gens.

Dans un monde libéral, chacun à le droit de se défendre, ainsi que sa propriété. Et il n'y a pas d'état pour interdire les moyens de le faire. La population de criminels se trouverait donc rapidement réduite.

Dans un monde libéral, il n'y aurait pas d'état pour accorder un monopole d'état sur les drogues au gens prêts à enfreindre les lois. Ni pour racketter sa population afin de maintenir leurs clients en état de consommer. Ce qui serait probablement nuisible (fatale?) à la rentabilité d'un tel commerce.

Sans les ressources dégagées par ce racket, pas non plus de quoi entretenir les divers parasites indigènes ou exogènes.

Pas non plus de quoi couvrir les risques pris par ceux qui gagnent leur vie en les évaluant. L'échec se paye, ou plutôt, ne paye pas.

Ce ne sont là que quelques exemples, mais la seule morale vient de la nature. En créant des institutions et en acceptant leur droit d'être contraignantes envers nos gens, on ne peut pas espérer une amélioration morale de la société.

Et douter de notre capacité à nous défendre contre n'importe quel agresseur, de notre pitié juste et consentie à l'égard de nos faibles, et de notre volonté de ne pas céder à la décadence une fois pleinement responsables de nos choix, c'est au mieux un reliquat du christianisme qui nous dit tous pécheurs.

Il y aurait une contradiction évidente à vouloir changer l'état alors qu'on est libéral.

Mais en tant que libéral, chaque fois qu'on se résigne à accepter une coercition de la part de l'état ou autre chose, on permet à une action invasive, qui se fait forcément au détriment de la morale de l'ordre naturel qui découle du libéralisme.

Ne reste plus qu'à définir une action invasive, la propriété, un semblable et  une ressource inutilisé (ce qui au fond part du même concept).

vendredi 18 janvier 2013

Liberté

J'en ai marre de lire Stag écrire ce que je pense, et Sir Shumule ce que je devrais penser.

Les Francs sont une bande de pourris qui a asservi tout ce qu'elle pouvait, a massacré par la traîtrise l'élite de plusieurs autres peuples Aryens, s'est enjuivée à la première occasion, et à été incapable de nous mener où que ce soit ni de protéger quoi que ce soit.

Et maintenant Shumule prétend créer une église de Wotan. Il prêche les 88 principes alors qu'il refuse ouvertement de les appliquer lui même. Il fait comme si l'Odinic Rite n'existait pas.
Tout ce qu'il veut c'est être le chef. Mais un Franc ne peut mener nul part.

Mais il y a une autre chose. Stag a raison. Mais tous les vingtenaires que je connais pensent comme lui. Personne n'a le moindre espoir d'amélioration de son futur. Au mieux, on espère voyager un peu ou être amoureux un peu, éventuellement faire de l'art.

Alors on a la solution Hippie, imaginer qu'en étant gentil avec son prochain, ils seront gentils à leur tour et la situation s'améliorera.

L'action légale, même si Stag l'élimine:
J'ai envie d'interdire l'usure en Suisse. Complètement. Une initiative.

 "La constitution est modifiée par l'ajout de l'article suivant: Nul ne peut exiger d'une personne, le paiement d'un intéret, sous n'importe quelle forme, pour la jouissance d'un capital prêté."

Et voilà la Suisse sur les rails d'une société sans croissance. Plus aucune institution à but lucratif ne prêtera à qui que ce soit pour construire en Suisse.

On pourrait aussi retirer tous les droits autre que celui de dépenser de l'argent aux étrangers. Ca appellerait des représailles économique. Les gens arrêterait de venir. Peut-être même que certains partiraient. Peut-être même que sans pétrole, une bonne partie des gens retourneraient aux champs. Je pense que la première a une chance.

Mais ça reste une solution gentil.

Parce que ce qui nous manque, c'est la possibilité de créer quelque chose. Alors créer une catastrophe?

L'attentat suicide, quelque soit son échelle ne mène à rien à long terme. Pas de continuité.

L'exil sur une terre vierge, il n'en reste plus. Il y a des obstacles légaux partout a simplement vouloir vivre dans la nature, cultiver et chasser. Alors tant qu'à être illégale.

Quels moyens restent ils aux états Européens. Parce que s'ils leur en restent vraiment peu. Alors le parasitisme armé de la société. Comme les Roms, comme les banlieus française. Cesser de voir la société comme quelque chose dont on fait parti, mais comme une organisation concurente. Comme une proie.

Prendre le maquis. Attaquer des camions, des villes. Vivre de pillage être mobile. Jusqu'à ce que le territoire soit déserté et qu'on puisse y vivre comme le veut vraiment (en paix quand même). Ou jusqu'à ce qu'on nous envoie une armée et qu'on doive défendre la liberté qu'on s'est attribué.

Ca implique de faire passé l'aspiration de chacun à un territoire agréable, au dessus d'un droit de chacun à un territoire vivable. Aujourd'hui c'est surement possible dans plusieurs régions d'Afrique. Ca ne fait pas tellement envie. Mais en France? Vous imaginez une cinquantaine de Suisses pillant Pontarlier depuis les Bayards? Il faut juste agir dans l'espoir que ça réussisse. Sinon c'est un suicide maquillé.

 Mais d'abord, je dois terminer ma thèse.